On peut entendre : des bruits de la nature, des insectes, de pas et de coups réguliers, de bulles d’air comme si on était sous l’eau, de clapotis de l’eau lorsque l’on revient à la surface, mais aussi des sons relatifs à l’homme comme un rot, un bisou, des applaudissements ou un bâillement. Une valse entraînante aux accents circassiens ponctue cet extrait sonore. Il se termine sur des bruits de la nuit avec notamment le son reconnaissable des moustiques.

Le jour se lève, la nature se réveille : frémissements des herbes, bruits de l’eau, coassements d’une grenouille, moustiques et autres insectes, bruit de déglutition, bruissement d’ailes et son s’apparentant à celui d’une bouteille que l’on débouche...

L’extrait commence par une musique introductive typique, puis se poursuit par la lecture du titre et des cartons, la voix d’un homme qui permet de contextualiser (le chien Speedy doit bien dormir pour être en forme pour la chasse au lapin du lendemain), des aboiements, des onomatopées…

La musique lente aux accents dissonants contraste avec les différents bruits : secs, sourds, métalliques, de klaxons ou évoquant l’élasticité. La voix off déclare « hors service ». Puis le réveil et la voix de l’homme indiquent que le jour s’est levé et qu’il est l’heure d’aller à la chasse au lapin.

Le film commence et se termine sur la même musique entraînante dont le style et le tempo sont reconnaissables.

La musique des films de Charles Chaplin illustre les actes, course poursuite et affrontement, permet d’entrer dans le burlesque ou les sentiments du personnage de Charlot.

La musique des films de Charles Chaplin illustre les actes ou les sentiments du personnage de Charlot, musique langoureuse traduisant le sentiment amoureux.

Le film commence par des sons révélant l’effervescence de la ville : bruits de voitures, de klaxons, de pas, de bousculades, voix, rires… Ensuite, le calme revient comme si on était entré à l’intérieur d’un bâtiment et le son d’un instrument se fait entendre. Cette musique continue mais atténuée : on l’entend maintenant de l’extérieur. Le bruit d’un choc l’arrête. Elle reprend à la fin et une seconde collision la stoppe à nouveau : l’extrait se termine par des bruits de mécontentement.

La musique entraînante évoque un univers joyeux. Le chantonnement d’un homme qui se mêle à la même mélodie que celle de l’extrait précédent renforcent cette sensation de bien-être. Des sons brefs et discordants sont éphémères et ne viennent pas perturber l’harmonie d’ensemble.