Ce contenu est à accès restreint, connectez-vous à votre compte ou contactez-nous pour plus d'information.
Quelques supports à l'analyse
Voir ci-après.
Bien percevoir que le film est un flash-back par rapport à la séquence d’ouverture, et que le final nous projette dans l’avenir / le présent du spectateur (ville moderne avec buildings).
>> Repérer les autres flash-back : photo de famille, vacances en bord de mer, charnier (impulsé par la mise au tombeau des lucioles), souvenirs de Setsuko devant la galerie...).
Comme le disait très justement Hervé Joubert-Laurencin lors d’une présentation du film : « Le grand frère, Seïta, apparaît comme un fantôme (tradition sino-japonaise) dès le début du film. Le récit est donc pris en charge par un personnage qui en principe ne devrait pas pouvoir raconter, puisqu’il est mort. Le culot narratif du début du film et de faire prononcer à son narrateur ces premiers mots : « Je suis mort » (Même effet que dans "L’homme qui rétrécit" de Jack Arnold, sur le versant fantastique). Phrase impossible et pourtant possible parce que nous sommes au cinéma »
Photogrammes disponibles dans la ressources "photogrammes" [Séquence d’ouverture].