“Nausicaä de la vallée du vent” … et cinéma

LE RÉALISATEUR

Faire des recherches sur le réalisateur. Voir Dossier # 283 page 2 au téléchargement ci-après.

Dès Nausicaä de la vallée du vent, son deuxième film, apparaissent des thématiques fondamentales qui vont baigner l’œuvre du cinéaste : une nature à la fois merveilleuse et dévastatrice, la passion pour l’aviation militaire (qu’il tient de son père, directeur d’une entreprise en aéronautique qui participe à la fabrication des célèbres chasseurs de Type Zéro, actifs pendant la 2ème Guerre Mondiale), l’enfance (dont semble à peine sortir, par la mort de son père, la princesse Nausicaä), des univers et des créatures chimériques, la maladie et la mort (sa mère a longtemps souffert de la tuberculose) …

HISTOIRE DU CINÉMA

Miyazaki au féminin : retour sur les héroïnes des films du réalisateur.

Voir extrait vidéo de Sébastien Bénédict (12’29) – site : Upopi-Ciclic

Imaginaire atomique dans le cinéma japonais : il prend la forme d’un monstre dans Godzilla (Ishiro Honda, 1954). Renouant avec le drame réaliste, citons Les enfants d’Hiroshima (Kaneto Shindo, 1952), Hiroshima (Hideo Sekigawa, 1953) ou Les enfants de Nagasaki (Keisuke Kinoshita, 1983) sans oublier les classiques Vivre dans la peur (Akira Kurosawa, 1955) et Hiroshima mon amour, film franco-japonais d’Alain Resnais (1959), sur un scénario de Marguerite Duras.

A côté du Tombeau des lucioles (Isao Takahata, 1988), le cinéma d’animation produira entre autres Gen d’Hiroshima (Mamoru Shinkazi, 1983) et Dans un recoin de ce monde (Sunao Katabuchi, 2016).

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