“Parvana, une enfance en Afghanistan”, les motifs

LE CERCLE

Voir planche de photogrammes Le cercle

● Les figures cycliques et circulaires se retrouvent à plusieurs reprises dans le « storyworld » (l’épopée de Soliman) : Soliman au milieu d’un cercle + mouvement de rotation = l’enfance est au centre du film. (Redondance de cette image)

Formes circulaires au centre du cadre : soleil, miroir, puits, cercle des villageois

Forme circulaire utilisée comme raccord entre les deux récits

——-          

LES MAINS

Voir planche de photogrammes Les mains

Les nombreux plans sur les mains dénoncent l’inhumanité du pouvoir taliban. Ils permettent également de reconstituer le parcours de l’héroïne et d’en symboliser les enjeux.

● Fonction d’attachement, de soin, de protection

Le 1er plan de la main de Parvana sur sa tunique montre l’attachement à sa vie d’avant et à une part de rêve à laquelle elle doit renoncer.

● Fonction de partage

Les plans sur les mains lors des rencontres avec Razaq montrent le lien qui se tissent entre Parvana et lui et préfigure son rôle d’adjuvant. Les plans récurrents sur les mains autour du plat familial révèlent la solidarité qui unit la famille.

● Fonction de transmission

Les lettres dont le contenu peut changer le cours d’une vie, circulent de main en main.

L’écriture : Razaq demande à Parvana où est écrit « Hala » le prénom de sa femme, et s’entraîne à l’écrire

● Fonction de lutte, de résistance

En serrant la lame du couteau, Mama Jan fait fuir l’agresseur (le petit cousin) de manière courageuse et non-violente. De même, Soliman arrête le roi Eléphant du plat de sa main. (Le vrai Soliman est mort en ramassant un jouet piégé).