“Calamity”, histoire du cinéma

Rémi Chayé est illustrateur (diplômé de l’école internationale du film d’animation La Poudrière)

Il collabore à plusieurs longs métrages :

Storyboarder et assistant réalisateur pour Brendan et le secret de Kells (de Tom Moore, Nora Twomey, 2009) et Le tableau (de Jean-François Laguionie, 2011)

Storyboarder pour Kérity la maison des contes (de Dominique Monféry, 2009) et pour Pourquoi j’ai pas mangé mon père (de Djamel Debbouze, 2015)

               

Son 1er long métrage : Tout en haut du monde (2016) (prix du public à Annecy en 2015)

Il remporte le grand prix de ce festival en 2020 pour Calamity.

Pour aller plus loin

Ma classe au cinéma Entretien avec Rémi Chayé « Comment faire un film d’animation ? » (3’14)

Ma classe au cinéma « Entretien avec Rémi Chayé » (7’44)

Rémi Chayé nous raconte comment, en partant de sa passion pour la bande-dessinée, il en est petit à petit venu à faire de l’animation. Il souligne l’importance du travail en équipe pour faire un film.

DESSIN ANIME ET IMAGES DE SYNTHÈSE

Rémi Chayé utilise le dessin  pour représenter les personnages qui, selon lui, est le plus à même de transmettre les sentiments des personnages lors des scènes de contact grâce aux « microdéformations » faites au ressenti (s’embrasser, donner l’accolade, prendre un enfant dans ses bras…)

En revanche, la 3D est plus efficace pour faire bouger des objets complexes comme les chariots de Calamity (ou le navire de Tout en haut du monde)

Pour des raisons économiques, pratiques ou esthétiques, de nombreux films utilisent cette hybridation dessin/3D.

(Dès 1991, la 3D dans la scène du bal de La belle et la bête permet à la caméra de virevolter, d’effectuer des mouvements impossibles à restituer par le dessin.)

Pour aller plus loin, voir le dossier sur Cinéma d’animation (ressources accessibles via un compte “enseignant”)

Exposition numérique  Sur la route de Calamity autour de la fabrication du film

Bande-annonce du film

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